Varambon, ancienne petite ville fortifiée au Moyen-Age, présente une architecture urbaine singulière (fenêtre à linteau courbe du XVIIIème,...).
Le château et l’église sont classés au Patrimoine des Monuments Historiques.
Le château et l’église sont classés au Patrimoine des Monuments Historiques.
Le village baigne ses pieds dans les eaux limpides de la Rivière d’Ain, où il mire son image, dominé par un élégant château.
Petite ville fortifiée créée par les sires de La Palud vers l’an mille, Varambon était au XVIème ceint de murailles contre lesquelles s’appuyaient, à l’intérieur, des maisons de bois et de torchis. Les amoureux du patrimoine découvriront, au fil des ruelles, de nombreux vestiges, dont des maisons remarquables par leurs fenêtres à linteau courbe du XVIIIème.
L’église du XIVème renferme quelques trésors dont des objets mobiliers, bancs
seigneuriaux, stalles et marbres, protégés au titre des Monuments Historiques.
Les amateurs de calme, au détour du chemin de la Côte, apprécieront une
halte sur la colline verdoyante de Montmeilland, à proximité de la table d’orientation, où ils pourront contempler longuement les monts du Bugey, la Plaine de l’Ain ainsi que le cours de la Rivière d’Ain.
Non loin de là se dresse le château de Varambon (privé), édifié en l’an mille par Varambon de La Palud et acquis en 1855 par le savant épigraphiste Alphonse de Boissieu. L’ensemble avec le jeu de couleur de la pierre, du tuf, des briques et ardoises ne manque pas de caractère.
Poussez votre curiosité jusqu’au hameau de la Magdeleine, hameau dont les origines seraient antérieures au Xème siècle.
Varambon, c’est aussi le quartier du Port dans lequel résidait jadis, en des temps où la rivière était utilisée pour le transport des marchandises, un batelier. Aujourd’hui aménagé, vous pourrez vous y promener et apprécier le calme et la sérénité des lieux. Non loin, les amoureux de la nature pourront observer la lône de Varambon, zone de reproduction et de croissance pour une multitude d’espèces.
A voir : Château au sommet de Montmeilland (an mille) reconstruit plusieurs fois – Vestiges de murailles (XVIème) – Statue de la Vierge sur la colline (1864) avec table d’orientation et vue sur la Vallée de l’Ain – Eglise inscrite aux Monuments Historiques ainsi que le degré circulaire (double escalier faisant face à l’église) et la clôture du parvis ; Doyenné (1769) en face de l’église.
Petite ville fortifiée créée par les sires de La Palud vers l’an mille, Varambon était au XVIème ceint de murailles contre lesquelles s’appuyaient, à l’intérieur, des maisons de bois et de torchis. Les amoureux du patrimoine découvriront, au fil des ruelles, de nombreux vestiges, dont des maisons remarquables par leurs fenêtres à linteau courbe du XVIIIème.
L’église du XIVème renferme quelques trésors dont des objets mobiliers, bancs
seigneuriaux, stalles et marbres, protégés au titre des Monuments Historiques.
Les amateurs de calme, au détour du chemin de la Côte, apprécieront une
halte sur la colline verdoyante de Montmeilland, à proximité de la table d’orientation, où ils pourront contempler longuement les monts du Bugey, la Plaine de l’Ain ainsi que le cours de la Rivière d’Ain.
Non loin de là se dresse le château de Varambon (privé), édifié en l’an mille par Varambon de La Palud et acquis en 1855 par le savant épigraphiste Alphonse de Boissieu. L’ensemble avec le jeu de couleur de la pierre, du tuf, des briques et ardoises ne manque pas de caractère.
Poussez votre curiosité jusqu’au hameau de la Magdeleine, hameau dont les origines seraient antérieures au Xème siècle.
Varambon, c’est aussi le quartier du Port dans lequel résidait jadis, en des temps où la rivière était utilisée pour le transport des marchandises, un batelier. Aujourd’hui aménagé, vous pourrez vous y promener et apprécier le calme et la sérénité des lieux. Non loin, les amoureux de la nature pourront observer la lône de Varambon, zone de reproduction et de croissance pour une multitude d’espèces.
A voir : Château au sommet de Montmeilland (an mille) reconstruit plusieurs fois – Vestiges de murailles (XVIème) – Statue de la Vierge sur la colline (1864) avec table d’orientation et vue sur la Vallée de l’Ain – Eglise inscrite aux Monuments Historiques ainsi que le degré circulaire (double escalier faisant face à l’église) et la clôture du parvis ; Doyenné (1769) en face de l’église.